cartotheque filmographie photo galerie webgraphie| co2 Agriculture icone43

    Actualités 2011

    Premier Yellow cake à Azelik !

    Créé le lundi 10 janvier 2011 17:00

    azelikyellowcake

    Premier bidon d'uranium de la mine d'Azelik au Nord de Ingall !

    La mine d'uranium d'Azelik a produit son premier yellowcake pour ses propriétaires chinois. Pendant ce temps, côté de l'océan, l'organisme de réglementation nucléaire des États-Unis a reçu une demande de licence pour un nouveau projet de lixiviation in situ d'uranium à partir d'une société australienne. Les opérations de première sorties ont commencé à Azelik le 10 Décembre 2010, avec le premier baril de yellowcake produit le 30 Décembre, par la China National Nuclear Corporation (CNNC). La mine est la première d'intérêts à l'étranger pour la CNNC à entrer en production, sous le contrôle de sa filiale China Nuclear International Uranium Corporation (Sinou).

    Les essais se poursuivront à Azelik en vue de parvenir à sa pleine capacité (700 tU / an) dès que possible. Sinou a déjà dit qu'il espère augmenter la production à Azelik, qui a signalé les ressources de 13.000 tU à 0,2%, à 2500 t / an d'ici à 2015 et le double d'ici 2020.

    Azelik est détenue par la Société des Mines d'Azelik SA (Somina), une joint-venture créée en 2007 dans laquel le gouvernement du Niger a un intérêt de 33% et Sinou détient 37,2%. Le reste de la société est détenue par l'investissement chinois société de gestion ZXJOY Invest, et basée en Chine, est une entreprise minière d'investissement Trendfield Holdings.

    L'uranium a été produit au Niger depuis le début des années 1970, et ses deux grandes mines d'uranium en exploitation, Arlit et d'Akokan, figurent dans la liste des principaux producteurs mondiaux les dix premiers. La société française Areva a des intérêts importants dans les deux sites ainsi que le Niger. Le plus grand projet d'uranium du Niger, Imouraren, devrait entrer en production en 2013.

    Recherche et rédaction 04 Janvier 2011 - Nouvelles par la World Nuclear
    Elections 2011

    Créé le dimanche 16 janvier 2011 11:06

    Elections communales et régionales

    Dernière nouvelle 4 juillet 2011 : Mohamed Ghabdouane du PNDS est élu maire de Ingall, vice maire Agali Tchamane.

    Répartition des conseillers par parti et par commune pour la région d'Agadez. Pour Ingall, le PNDS à la plus forte représentation sans toutefois avoir la majorité ce qui obligera à des alliances ... Ceci est plutôt historique à Ingall détenu depuis longtemps par le MNSD.

     

    ANDP

    ARD

    CDS

    MNSD

    MODEN

    MPN

    PNA

    PNDS

    PUND

    RACIIN

    RDP

    RSD

    RSP

    UDPS

    UDR

    UDSN

    Total

    Agadez CU

     

    1

    2

    5

    1

       

    8

       

    1

       

    2

       

    20

    Tchiro CU

         

    3

    3

       

    4

             

    1

       

    11

    Aderbiss CR

       

    1

     

    3

       

    6

       

    1

             

    11

    Dabaga CR

         

    2

    4

       

    7

                   

    13

    Ingall CR

       

    2

    1

    3

       

    5

                   

    11

    Tabelot CR

         

    6

    4

       

    1

                   

    11

    Arlit CU

       

    4

    2

    3

       

    8

         

    1

           

    18

    Dannet CR

       

    5

    6

                           

    11

    GougaramCR

       

    1

    1

    4

       

    5

                   

    11

    Iferouane CR

         

    6

         

    5

                   

    11

    Timia CR

       

    1

     

    6

       

    4

                   

    11

    Bilma CU

       

    2

    4

    1

       

    1

       

    2

    0

       

    1

     

    11

    Dirkou CR

         

    5

    1

       

    2

         

    3

           

    11

    Djado CR

           

    6

               

    5

           

    11

    Fachi CR

       

    1

    3

    4

             

    3

             

    11

    Total

    0

    1

    19

    44

    43

    0

    0

    56

    0

    0

    7

    9

    0

    3

    1

    0

    183

    REGION

    0

    0

    3

    6

    6

    0

    0

    11

    0

    0

    0

    0

    0

    1

    0

    0

    27

    * ces résultats doivent être validés par la cour constitutionnelle.

    **CU = Commune Urbaine, CR=Commune Rurale


    Bastonnés sans vergogne ...

    Créé le vendredi 18 mars 2011 17:33

    "Des nigériens travaillant à Azelik bastonnés par les forces de l’ordre"

    Des nigériens travaillant sur le site d’Azelik ont vécu l’enfer sur terre la semaine passée ! Ayant le plus simplement du monde voulu protester contre le non-paiement de leur salaire par leurs employeurs chinois, une trantaine de nos frères n’ont eu pour seule réponse que bastonnades et sévices de toutes sortes. Une victime a osé témoigner devant notre micro. “ C’est très grave ce qui s’était passé à Azelik ! Nos forces de défense et de sécurité ont été impitoyables à notre égard ! C’est surtout leur lieutenant qui était ivre ce jour-là qui a mené l’opération. Qu’avons-nous fait pour ça ? Les chinois nous exploitent et on travaille comme des animaux. Nous nous demandons s’il y a un Etat de Droit au Niger sinon comment expliquer que des militaires et des gendarmes se ruent sur des pauvres citoyens qui ont décidé de faire un sit-in pour réclamer leurs droits? Je suis très déçu ! Regardez mon dos ! Ce sont des traces des ceinturons de ceux qui sont appelés à nous protéger ! Ils nous ont batonné devant les Chinois qui riaient et nous prenaient en photos de nous voir courir dans tous les sens ”, affirme Yaou.

    Nous y reviendrons en détails et avec les photos à l’appui pour dire à la face du Niger et du monde comment les multinationales, avides du Yellow Cake, exploitent sans vergogne et sous l’oeil complice de nos dirigeants des frères nigériens, loin de tous et privés de tout. Nous apprenons de source sûre qu’une haute personnalité serait en fin de semaine sur le site d’Azelik. Osera t-elle remonter les bretelles à ces agents de l’Etat qui humilie leurs frères pour le plaisir des néocolonisateurs ? Attendons de voir.

    Ibrahim Manzo Diallo - Aïr Info


    En attendant les pluies ... "Au secours des barrages ..."

    Créé le mercredi 13 avril 2011 14:42

    koritelwa

    La région d'Agadez a connu des inondations ces dernières années : 2007, 2009 et 2010. Parfois meurtrières et causant d’importants dégâts comme en 2009. Et parce qu’elle ne veut plus être surprise et connaître le même sort en 2011, la région d’Agadez veut prendre soin de ces digues et barrages abîmés par les inondations antérieures. Certains de ces ouvrages comme la digue d’Ingall, le Kori inhazemadaran et le barrage de Tiguirwit attendent toujours d’être remis à flot.
    Ainsi les travaux de la réhabilitation de la digue d’Ingall qui a été endommagée suite aux inondations survenues en 2010 devraient avoir démarré à la fin du mois de mars. Ces travaux devraient consister à la construction d’une digue de protection des berges de 350 ml en gabions et à la réalisation de trois épis de rejet en gabions avec comme objectifs de protéger la ville et ses exploitations agricoles pour un montant de 65.543.353 F CFA. Le Programme d’Appui à la Décentralisation et au Développement Local dans la Région d’Agadez (PADDL/AZ) a accepté d’assurer 90% soit 58.989.018 FCFA de ce financement et le Consortium ONG GASSAR et ADS/ITIHAD assurera les 10% soit 6 554 335 F CFA. Les travaux bénéficieront de l’encadrement technique de la Direction Régionale du Génie Rural d’Agadez (DRGR/AZ).
    Les travaux de dégagement des obstacles à l’écoulement, désensablement et la construction des murets de protection des 2 berges de du kori Irhazermadaran qui devraient être réalisés avant la saison des pluies attendent toujours un financement. L’obstruction du lit mineur du Kori Irhazermadar qui traverse la ville d’Agadez avait aggravé les inondations de 2009. Des inondations qui avaient occasionné d’importants dégâts matériels, dont la destruction des habitations et causé des pertes en vies humaines. A l’époque, une étude topographique, commandée par le comité ad hoc de gestion de l’inondation avait conduit à une matérialisation de la limite stricte du lit du kori Irhazermadar au moyen des balises en béton armé. La délimitation devait permettre de déterminer les habitants à recaser mais aussi de marquer la limite dangereuse d’habitation. Beaucoup d’habitations implantées dans le lit mineur du kori en empêchent l’écoulement normal, favorisant de ce fait un débordement vers des zones inattendues. Le charriage du kori a également favorisé le débordement. Le comité a donc décidé de dégager tout obstacle : habitations en ruine ou pas, des contre pentes, arbres, etc.… se situant dans le Kori Irhazermadar (partie ville d’Agadez).
    Le gouverneur de la région d’Agadez instruira le Directeur Régional du Génie Rural d’Agadez de monter un dossier d’exécution des travaux en gardant à l’idée tous les scenarios possibles. Cela fut fait pour un montant estimé 1 353 063 075 FCFA.
    Le projet attend toujours d’être financé. Le gouverneur de la région d’Agadez, qui a plusieurs fois visité les différents sites l’a pourtant transmis au ministre de l’équipement lors d’une visite à Agadez.
    Le barrage de Tiguirwit lui, réalisé dans les années 70, avait pour objectifs de protéger la population du village de Tiguirwit, et la vallée de l’Irhazer et ses installations (périmètres irrigués, forages, cultures, etc.) à l’aval du village de Tiguirwit contre un ravinement Il visait également à promouvoir les activités agro pastorales dans l’Irhazer, protéger la route nationale Tahoua-Arlit (RTA), réinstaurer et améliorer un environnement local favorable à l’épanouissement de la biodiversité.
    Il ne résistera pas aux inondations de 2009. Les flots emportaient une partie de la route nationale Tahoua-Arlit, endommageant les puits maraichers et villageois se trouvant en aval, ravinant la vallée de l’Irhazer et détruisant les boutiques, magasins et habitations se situant dans la vallée. La Direction Régionale du Génie Rural d’Agadez avec l’appui de la Direction Générale du Génie Rural de Niamey ont procédé immédiatement à un diagnostic de proximité et une estimation des travaux de la reconstruction de l’ouvrage. A l’époque il était question soit de réhabiliter la digue à titre d’urgence à 123.000.000 FCFA, soit de reconstruire le barrage à 2.962.768.800 FCFA.
    Pour autant, l’état présent de l’ouvrage ne serait pas de nature à sécuriser la vallée de l’Irhazer et ses installations ainsi que la RTA. En effet, les travaux de confortation entrepris par les services des travaux publics ne garantiraient aucune stabilité de l’ouvrage.

    source OCHA.
    Situation de l'environnement "Petit à petit mais sûrement ..."

    La région d'Agadez comprend trois départements (Arlit, Bilma et Tchirozérine), trois postes administratifs (Aderbissinat, Iferouane et Ingall), quatre communes urbaines (Agadez commune, Arlit, Tchirozérine et Bilma) et onze communes rurales (Aderbissinat, Dabaga, Danet, Dirkou, Djado, Fachi, Gougaram, Iferouane, Ingall, Tabelot et Timia).

    Ce sont des zones écologiquement fragiles. En matière de formation forestière, la région compte 8 001 050 hectares de domaines forestiers classés dont 1050 ha de forêts classées, aujourd'hui à 100% détruites, 8 000 000 ha de réserves de faune en péril. Selon le Directeur régional de l'Environnement, la situation environnementale est globalement préoccupante dans la région d'Agadez pour diverses raisons.

    Il y a d'abord la dégradation de l'environnement due à la surexploitation des ressources naturelles à laquelle viennent s'ajouter les effets dévastateurs de l'érosion éolienne et des inondations, accentuant en même temps le phénomène de la désertification ; l'accumulation des déchets de tous genres due à l'implantation des différentes sociétés minières qui ont fait d'une partie importante de cette région leur déversoir; le braconnage couplé à la dégradation de l'habitat de la faune et l'ensablement des mares (gueltas) expliquent la diminution constante et même parfois la disparition des espèces fauniques.

    Tous les efforts entrepris dans ce secteur ne semblent pas être à la hauteur de la dimension d'une région vaste et désertique, ni aux moyens très réduits de la direction régionale, a indiqué le Lieutenant-Colonel Abarchi Idi. C'est pour cela, a-t-il poursuivi, que l'écosystème naturel de la région est en perpétuelle dégradation du fait des érosions, de la prolifération des déchets plastiques, des feux de brousse et des coupes abusives. En effet, le bois de chauffe se raréfie chaque jour davantage ; à l'heure actuelle, les zones d'exploitation se situent à quelque 200 kilomètres des centres urbains comme Arlit et Agadez commune. En outre, a-t-il précisé, même les domaines protégés subissent une forte exploitation des peuplements des palmiers doum.

    L'état de la faune

    Rappelons que la réserve de l'Aïr et du Ténéré, ainsi que les domaines du Tadress et de l'Irhazer, renfermaient, il y a quelques années, une faune très riche et variée. Les bouleversements sociopolitiques qu'a connus la région ont entraîné de manière systématique et très déplorable la rareté ou la disparition de certaines espèces fauniques.

    Aussi, malgré les efforts de conservation consentis par les services de l'Environnement et leurs partenaires, la faune de la région continue de payer de lourds tributs du fait de l'intensité du braconnage et de la destruction de son habitat naturel. C'est ainsi que l'autruche au cou rouge et l'oryx ont totalement disparu de leur milieu naturel. Par ailleurs, indique le directeur régional de l'Environnement, les changements climatiques des dernières décennies ont accentué les phénomènes de l'érosion hydrique et éolienne, occasionnant de ce fait une diminution du capital de production.

    A cela s'ajoute la dégradation du milieu naturel due à la surexploitation des ressources naturelles, aux feux de brousse favorisant les phénomènes de la désertification. D'autres menaces proviennent des abords des vallées où sont concentrées les ressources forestières de la région (doumiers et autres essences...). Beaucoup d'espèces animales et végétales ont disparu ou sont en voie de disparition. L'accumulation des déchets en tout genre due aux rejets des matériaux solides et liquides des différentes unités industrielles, les emballages plastiques, contribuent également à aggraver la situation de l'environnement.

    Des efforts ont été entrepris par les services compétents et portent notamment sur les travaux de protection et de restauration des sols, la sensibilisation et l'organisation des communautés pour qu'elles prennent en charge et en toute responsabilité la gestion de leur terroir, car qu'il y va de leur propre intérêt. En amont, afin que la protection de l'environnement devienne un réflexe pour tous, des programmes de l'Etat et de ses partenaires ont donné un nouveau souffle aux actions traditionnelles de protection et de restauration de l'environnement. A travers ces programmes, un nombre important de groupements féminins et des jeunes (GIE, ONG) ont vu le jour dans le cadre des activités de production de plants forestiers et fruitiers, l'amélioration des cultures traditionnelles par des techniques mécaniques légères (diguettes en pierres), la récupération des terres dégradées par la confection des banquettes et leur ensemencement, etc.

    L'ensemble de ces activités leur procure des revenus qui améliorent le quotidien, tout en leur permettant d'économiser en cas d'impondérables. Entre autres mesures d'urgence, il y a les actions préventives de lutte contre les feux de brousse, la mise en œuvre de la muraille verte, la stratégie de lutte contre la dissémination des déchets plastiques, la systématisation des études d'impact et le respect strict des clauses environnementales. Toutefois, un accent particulier doit être mis pour intensifier la surveillance et le suivi de l'environnement, la collaboration avec les projets et ONG oeuvrant dans le domaine de l'environnement, la sensibilisation et l'information des bénéficiaires sur la gestion durable des ressources naturelles.

    D'autres actions doivent également être entreprises, notamment l'élaboration d'un schéma directeur d'aménagement et de valorisation de la faune ; une gestion saine du tourisme; la création d'un arboretum pour conserver les ressources forestières locales ; la création des bois communautaires et le renforcement de l'utilisation du charbon d'Anou-Araren au niveau des villages et campements afin de diminuer la pression sur les ressources forestières.

    VENDREDI, 08 JUILLET 2011 07:56 ÉCRIT PAR DUBOIS TOURAOUA, ONEP TAHOUA - Le Sahel


    Arguenon Hunaudaye et le Niger

    Créé le samedi 16 juillet 2011 15:43

    arguenon"Visite du RAIL Niger en Bretagne"

    Mardi, Dodo Bahari, l'opérateur nigérien qui travaille en lien avec le conseil général des Côtes d'Armor et la communauté de communes Arguenon-Hunaudaye dans le cadre de la coopération internationale étaient en visite sur le territoire. Il a été reçu par le président Jean Mégret et le directeur des services Michel Etienne. L'objectif de cette rencontre étant de rendre compte des travaux effectués grâce au soutien de la communauté qui verse, chaque année, environ 8 000 € pour ce pays (soit 1 € par habitant).

    Des élus motivés

    Après l'instabilité politique qui a marqué ces derniers temps le Niger, il semblerait aujourd'hui que de nouvelles perspectives se profilent. Les élections locales qui ont eu lieu en février dernier, laissent entrevoir une volonté politique. Les élus municipaux d'Ingall (commune soutenue par la CCAH) sont des hommes d'expérience. Onze dont deux femmes forment le conseil municipal. Le PDC (Plan de développement local) sur quatre ans est institué par l'Etat nigérien.

    « C'est un outil qui permet de construire un programme par tranche annuelle. Il a été évalué fin 2010 et devra être réactualisé. » L'essentiel est l'aide aux populations : désenclavement de certains villages, voies d'accès, coopérative d'artisanes, un local de sages-femmes...

    Impliquer les jeunes Bretons

    Dodo Bahari a visité plusieurs structures (élevages, stations d'épuration, collectes de déchets, maraîchages...) du territoire, afin d'avoir des éléments pour d'éventuelles transpositions dans son pays. Par ailleurs, les élus d'Arguenon-Hunaudaye en lien avec leurs collègues africains souhaitent une mise en relation entre les deux collèges plénéens et celui d'Ingall. « C'est une bonne formation pour nos jeunes qui pourront ainsi voir ce qui se passe ailleurs », remarque le président de la communauté de communes. Jacky Lemoigne, chargé du service jeunesse, porte ce dossier. De plus, l'association de jeunes « Voir autrement » de Plédéliac travaille aussi dans ce sens avec déjà deux voyages effectués sur place.

    Centre Ouest.fr


    Trois nouvelles préfectures dans la région d'Agadez - "Ingall devient préfecture"

    Créé le dimanche 14 août 2011 17:08

    Dans le cadre du rapprochement de l'administré de son administration, les autorités de la septième république par le biais de l'assemblée nationale viennent de procéder à un nouvel découpage administratif au Niger. En effet, la loi qui vient d'être adoptée par les parlementaires du Niger érige les 27 postes administratifs en départements. Ainsi, dans la région d'Agadez, c'est Aderbissinat, Ingall et Iférouane qui deviennent du coup des préfectures qui seront dotées de tous les services déconcentrés de l'Etat.

    Nous apprenons que plusieurs personnes d'Agadez, de tous les partis politiques de la majorité se bousculent à Niamey pour être placées à la tête de ces nouveaux départements ou à leur secrétariat général. Parmi elles, l'on compte des anciens administrateurs délégués, des anciens SG ayant servi pendant la transition militaire de Salou Djibo. Comment seront les relations de ces nouveaux préfets avec les maires élus ? Quelles sera leur sphère de compétence? Tant de questions que se posent déjà les gens.

    14 Août 2011 Aïr Info Brèves


    Cure salée 2011 - "Du 15 au 17 septembre ..."

     

    Créé le lundi 12 septembre 2011 15:39

    Ingall renoue avec la cure salée C'est officiel. La localité d'Ingall (Agadez) va vibrer au rythme des festivités de la cure salée du 15 au 17 septembre prochains. Cette grande rencontre séculaire d'éleveurs en provenance de plusieurs pays de la sous région sur le territoire nigérien est placée cette année sous le thème de la paix et de la cohésion sociale. Selon le comité d'organisation, des pays limitrophes comme le Nigéria, le Bénin, le Burkina Faso, etc., sont associés directement aux préparatifs de cette 11e édition en vue de donner à la fête une dimension internationale.

    La cure salée, comme son nom l'indique, vise à permettre au cheptel de constituer des réserves en compléments alimentaires notamment les sels minéraux que le sol d'Ingall est réputé contenir en grande quantité. C'est pour cette raison que la rencontre draine des éleveurs de toutes les régions du Niger mais également de plusieurs pays de la sous région. La fête, qui a perdu de son faste ces dernières années à cause de l'insécurité armée qui prévalait dans la région d'Agadez, est mise à profit par les pouvoirs publics, certains partenaires techniques et des organisations non gouvernementales nationales et internationales pour faire des interventions au profit des éleveurs et des populations locales. A cette occasion, les enfants comme les animaux sont vaccinés contre certaines pathologies, les éleveurs sont sensibilisés sur certaines maladies et certaines pratiques préjudiciables au bien-être de la communauté.

    Source : Le Républicain 11 septembre 2011


    Cure salée 2011 Ingall - "Un facteur de développement de la zone ..."

    Créé le samedi 17 septembre 2011 07:46

    C'est aujourd'hui qu'Ingall renoue avec la cure salée après le succès de l'édition 2010. Ainsi donc, depuis plusieurs semaines, le village s'est couvert de ses plus belles parures afin d'accueillir ses hôtes. Les festivités ont été prévues du 16 au 18 septembre 2011 autour du thème : ''développement de la culture de la paix, renforcement de l'unité nationale et de la cohésion sociale''. Il est attendu près de 5000 participants au cours de l'édition 2011 de la cure salée. La cure salée est un événement annuel très important pour les éleveurs peuls et touaregs.

    En effet, selon le site web agadez-niger.com, à la fin de la saison des pluies, les éleveurs guident leurs troupeaux à travers de nombreux pâturages dans une transhumance de 300 à 400 km pendant 2 à 3 mois. C'est au cours de ce périple, à la mi-septembre, que tous les troupeaux convergent vers la ville d'Ingall (au nord) pour se réunir dans les pâturages riches en sel de la plaine de l'Irazer.

    Selon les explications de ce site, il est en effet essentiel pour le bétail - chèvres, moutons, vaches et dromadaires - de compléter l'herbe fraîche par des apports en sels minéraux. Et cette grande réunion est l'occasion pour les éleveurs de satisfaire les besoins des animaux, mais aussi de célébrer la grande fête annuelle de la cure salée.

    Ainsi donc après une année de séparation, les Touaregs et les Peuhls se retrouvent pendant trois jours, renouent des liens d'amitié et échangent des informations. Ils profitent des célébrations pour vivre leurs traditions, célébrer des mariages, participer à des chants et des danses ou prendre part à diverses compétitions. La fête, c'est aussi les diverses manifestations culturelles qui entourent la cure salée.

    Parmi les manifestations retenues, en danses, il est prévu un panorama de spectacles de désert et dans le désert. L'organisation retiendra ''danses de désert et dans le désert'' : ''le désert en mouvement'', ''chants des déserts et dans le désert : ''souffle du désert'', ''Musiques des déserts et dans le désert : ''DO RE MI FA SO LA DESERT'', ''Modes vestimentaires et capillaires des déserts et dans le désert : ''PANORAMA DU DESERT''. En outre, il y a l'organisation des fantasias et divers concours tels que les courses, la foire animale ou encore la foire artisanale.

    {dmotion width="400" height="320"}xhrbo0{/dmotion}

    Joindre l'utile à l'agréable

    En plus des festivités culturelles, le comité d'organisation de cette édition 2011 a prévu des activités qui participent au développement de la zone d'accueil. C'est ainsi qu'il a été prévu des travaux d'aménagement du village servant de site pour la cure salée. Ceci permettra non seulement de mieux accueillir les hôtes de la fête des éleveurs, mais aussi de faire bénéficier le village d'un certain nombre d'infrastructures. Cette activité consiste en la mise en place de cent soixante dix (170) cases touarègues et de 30 Eheket (tentes touarègues de la région de Tahoua).

    Ces tentes seront aménagées par les femmes de la commune rurale d'Ingall sur la base d'un prix forfaitaire de location de 30.000 F par unité et pour toute la durée de la manifestation. Par cette action, la cure salée contribue à l'amélioration de la sécurité alimentaire de deux cents (200) ménages, soit environ 1200 personnes. Outre la possibilité d'hébergement offerte à travers les cases et les tentes traditionnelles, dix (10) maisons spécialement aménagées dans la ville d'Ingall sont mises à la disposition des invités officiels. L'organisation a aussi prévu l'aménagement des différents lieux de manifestation (tribune, podium, stands, lieux touristiques et culturels).

    En effet, il s'agit de créer les conditions pour que les manifestations de la Cure se déroulent convenablement. C'est dans cet esprit que seront mis en place trois (3) tribunes de 1000 places (1 tribune officielle de 500 places et deux autres de 25 places chacune), un (1) podium pour les animations culturelles et les différentes manifestations et trente (30) stands d'exposition pour les artisans, projets, associations, ONG, etc. afin que ces derniers puissent exposer leur savoir-faire.

    La santé couplée à l'aspect festif

    En termes d'activités préventives, il est prévu la sensibilisation sur le paludisme, les MST/SIDA, la tuberculose, la poliomyélite et les mesures d'hygiène. Les vaccinations des enfants de 0 à 5 ans pour les maladies cibles du PEV et les femmes en âge de procréer contre le tétanos et le dépistage des enfants de 0 à 5 ans malnutris sont aussi mentionnées.

    Pour ce qui est des activités curatives, il s'agit de profiter de ce cadre pour administrer des soins à tous les malades, procéder à la supplémentation des mères et des enfants, et procéder à la vulgarisation des moustiquaires et des préservatifs. Ces activités seront menées par les équipes d'Agadez, Tahoua, Zinder et Maradi.

    En matière de santé animale, les principales activités porteront sur la vaccination contre les maladies telluriques, le traitement des cas de maladies animales, le déparasitage des animaux et la formation des éleveurs sur les maladies animales et les méthodes de prévention. Pour ce faire, selon le document élaboré par le comité d'organisation de la cure salée, il est constitué 8 équipes de vaccination composée chacune d'un agent d'élevage et d'un (1) aide vaccinateur.

    Les audiences foraines sont aussi une autre activité de cette manifestation. Sur ce plan, des actes d'état civil (jugements supplétifs d'actes de naissance, de mariage et de décès, et cartes d'identité nationale) sont établis afin de toucher le maximum d'éleveurs transhumants et résidents qui le souhaitent.

    L'objectif visé est d'arriver à établir 1000 actes d'état civil dans les trois ou quatre départements concernés. Ces audiences seront organisées par les juges de Tchirozérine, Abalak et Tchintabaraden, accompagnés de leurs greffiers respectifs. La direction régionale de la Police d'Agadez mettra à profit l'événement pour procéder à l'établissement des cartes d'identité nationales aux éleveurs.

    Au-delà des audiences foraines, il est prévu des séances de sensibilisation sur le mariage précoce, la scolarisation de la jeune fille et l'allaitement maternel exclusif. Ainsi, les activités de sensibilisation des populations sur le mariage précoce et la scolarisation de la jeune fille se dérouleront sur les itinéraires suivis par les nomades, dans les campements et sur les sites retenus pour la Cure salée.

    En outre, l'organisation prévoit la participation des représentants des pays voisins (Algérie, Libye, Burkina Faso, Bénin, Mali et Tchad, Nigeria et du Bureau Inter Africain des Ressources Animales de l'Union Africaine (UA-BIRA), de la CDEAO et de l'UEMOA à cette édition. Cela concourt au renforcement du processus d'intégration régionale.

    Au-delà, les représentations diplomatiques, les institutions internationales (FAO, PNUD, UNICEF, UE), les partenaires au développement, sont tous attendus à Ingall. Et enfin, la fête d'Ingall sera l'occasion de la participation de notre pays à la promotion des échanges sous régionaux à travers la participation de tous les pays invités aux expositions des produits artisanaux et aux concours.

    Le Sahel Dimanche


    M. Moumouni Karimoune, Chef de poste administratif d'Ingall

     

    Créé le mardi 20 septembre 2011 08:58

    "Aujourd'hui les gens sont libres de leurs mouvements de jour comme de nuit"

    Cela est un bon signe et il est à mettre à l'actif des ex-combattants qui ont bien voulu déposer les armes"

    Pouvez-vous nous présenter le poste administratif d'Ingall ?

    Le poste administratif d'Ingall est un vieux poste administratif. Il a été créé en 1956, donc peu avant les indépendances. Il couvre une superficie de 50.000 km2 pour une population estimée, en 2010, à environ 45.000 habitants.

    Au niveau de ce poste administratif, on rencontre sept groupes socio-ethniques qui cohabitent sur le territoire du poste, à savoir les Touaregs, les Izawaganes, les Igdalènes, les Peuls, les Haoussas et les Kounta. Les premières catégories du groupe socio-économique sont les Touaregs. Le poste administratif compte également une commune, créée par la loi n° 2002/14 du 11 juin 2002.

    Il comprend également trois groupements touaregs et deux groupements peuls; 16 villages administratifs et 52 tribus non groupées. Concernant sa situation géographique, on peut dire qu'il est situé à l'extrême ouest de la région d'Agadez. Il est limité au nord par la République sœur d'Algérie et le département de Tchirozérine ; au sud par la Commune rurale de Bermo et de Gadabédji plus le département d'Abalak.

    A l'Est, le poste administratif d'Ingall est limité par la Commune d'Aderbissanat ; à l'ouest, par le département de Tchintabaraden et le poste administratif de Tassara. Enfin, à l'extrême nord-ouest, par la République du Mali. On retrouve, au niveau du poste administratif, des caractéristiques physiques très variées. Il y a quatre zones écologiques à savoir le Tadress, l'Azawak, l'Irhazer et le Tamesna. L'Irhazer est une zone très fertile et qui a fait l'objet de beaucoup d'études, aussi bien avant qu'après les indépendances. Mais les résultats de ces études n'ont pas vu le jour jusqu'à la date d'aujourd'hui. C'est une zone qui est très importante pour l'économie de la région. Et aujourd'hui, il y a un projet qui est en étude et qui a pour objectif la mise en valeur de cinq mille (5.000) hectares dans l'Irhazer. Ce projet est piloté par AREVA. Plus précisément, il s'agit de la mise en valeur de quatre mille (4.000) hectares dans l'Irhazer et mille (1.000) hectares dans le Tamesna. Sur le plan éducatif, à la rentrée 2010-2011, le secteur pédagogique d'Ingall compte 77 écoles dont 67 fonctionnelles et 10 fermées pour des raisons diverses. Des 67 écoles fonctionnelles, 14 à cantines sont soutenues par le Programme Alimentaire Mondiale (PAM). Au niveau de l'enseignement secondaire, le poste dispose d'un Collège d'Enseignement Général créé en 1988, et qui, à la date d'aujourd'hui, compte six (6) classes avec un effectif de deux cent vingt (220) élèves dont quatre-vingt douze (92) filles. La plupart des élèves sont issus des écoles nomades. Il y a là un problème sérieux qui se pose à ces élèves. D'abord, ils ont des parents qui ne vivent que de l'élevage, donc du nomadisme, et qui, en grande partie, n'ont pas les moyens nécessaires pour supporter ces élèves une fois éloignés de leurs campements. Le gouvernement doit donc accorder une attention particulière à cette question, afin de doter Ingall d'une cantine scolaire au niveau du collège pour épauler ces élèves. Du point de vue structures sanitaires, Ingall a un centre de santé de type 2, neuf cases de santé fonctionnelles et un certain nombre de cases qui ont été construites dans le cadre du Programme spécial, mais qui ne sont toujours pas fonctionnelles. Avec un petit effort, je pense que ces cases de santé peuvent être équipées et viabilisées.

    Je voudrais aussi parler un peu de la campagne d'hivernage, même si elle n'est pas encore terminée. Les inquiétudes sont persistantes à ce niveau, car nous avons un déficit énorme du point de vue pluviométrique. Si on fait une comparaison, l'année dernière, jusqu'à la fin août, on a enregistré 267 mm de pluie, contre 182 mm cette année. De mon point de vue, ce déficit-là est énorme. Et cela, sans compter la mauvaise répartition de cette pluie dans le temps et dans l'espace. Néanmoins, nous avons quelques poches satisfaisantes, mais compte tenu du nombre important des animaux dans la zone, il y a vraiment de grosses inquiétudes quant à la satisfaction de tous. Même s'il est mal indiqué, à l'heure actuelle, de faire un bilan, au vu de ce que nous avons vécu, il est souhaitable que des dispositions soient prises à temps pour nous épargner des affres de l'année dernière. Mais toujours est-il que du point de vue élevage, le cheptel se porte très bien, en dehors de quelques cas d'ennemis de pâturage.

    Sur quoi repose l'économie du Poste administratif d'Ingall ?

    L'économie du Poste administratif d'Ingall repose essentiellement sur l'élevage. C'est le secteur le plus important. Et dans cette zone, si la pluviométrie n'est pas bonne et que le système herbacé n'a pas connu de croissance, tout le cheptel se trouve en danger. Et c'est la survie même des éleveurs qui est en danger. Donc, l'économie de cette zone repose essentiellement sur l'élevage. Ces derniers temps, il y a quelques prospections minières qui sont entrain d'être faites dans la zone et qui suscitent beaucoup d'engouement de la part des nomades et de la jeunesse.

    Est-ce que vous avez pu évaluer l'apport de la cure salée dans l'économie d'Ingall ?

    Nous n'avons pas fait une évaluation exhaustive, mais une telle manifestation suscite l'engouement des opérateurs économiques qui sont entrain de se manifester. Je pense que chacun trouve son compte pendant la cure salée. Que ce soient les restaurateurs, les commerçants ou les transporteurs, chacun trouve son compte pendant ces trois ou quatre jours que durent les manifestations de la cure salée.

    Vous avez tantôt parlé de la diversité de la composante de la population d'Ingall. Comment cohabitent ces populations ?

    La cohabitation entre les différentes ethnies est bonne. En tout cas, depuis que je suis là, je n'ai pas enregistré un incident majeur. Je peux donc me réjouir de cette situation et sans risque de me tromper, je dirai que la cohabitation est bonne.

    Est-ce qu'il y a un problème d'insécurité à Ingall ?

    A l'heure où je vous parle, le problème de l'insécurité est un vieux problème. En tout cas, à ce que je sache, tous les ex-combattants ont décidé, de leur propre volonté, de déposer les armes. Et ils se sont manifestés par rapport à l'appel que le Gouverneur leur a adressé. Cela a abouti à un dépôt massif des armes. Et depuis ce temps, dans toute la région d'Agadez et particulièrement au Poste administratif d'Ingall, on n'a enregistré aucun incident malheureux. Pour tout corroborer, le 3 août dernier, le Gouverneur a pris la ferme décision d'organiser, après la cure salée, une fête à Iférouane; et juste après cette fête, il prévoit de visiter, en compagnie de tous les cadres régionaux, toutes les poches de l'Aïr. Cela est un bon signe de retour de la paix. Le Gouverneur compte d'ailleurs engager d'autres actions pouvant montrer à la face du monde que l'insécurité n'est plus qu'un mauvais souvenir. Et c'est ce qui l'a amené, dans ses actions, à lever l'escorte. Aujourd'hui, les gens sont libres de leurs mouvements, de jour comme de nuit. Cela est un bon signe et il est à mettre à l'actif des ex-combattants qui ont bien voulu déposer les armes.

    Le sahel dimanche par OUMAROU MOUSSA, 


    Les élus locaux solidaires de leurs homologues du Niger

    Créé le vendredi 7 octobre 2011 20:20

    "Élus du Niger et élus locaux"

    Depuis plusieurs années, la communauté de communes Arguenon-Hunaudaye (CCAH) soutient financièrement la commune nigérienne d'Ingall (50 000 habitants répartis sur 50 000 ha), dans le cadre de coopération décentralisée. Actuellement, Mohamed Ghabdouane, le maire d'Ingall et Saghid Alhadji, élu chargé de la coopération décentralisée, travaillent avec les élus du canton sur la mise en place d'aides. Ils visitent aussi des entreprises, des écoles, des exploitations agricoles. Après la journée de lundi essentiellement consacrée à la découverte du fonctionnement de l'administration française, et plus particulièrement des services de la communauté de communes, la délégation et les élus ont planché, mardi matin, sur les projets et les priorités pour aider.

    Une aide supplémentaire

    Devant le président de la CCAH, Jean Mégret et les vice-présidents Alain Briens, Daniel Moisan, Michel Gesret, Jocelyne Renaud directrice adjointe des services et Jean-Claude Gaspaillard trésorier de l'association Masnat, le maire d'Ingall a évoqué la 3 e sécheresse consécutive que connaît son pays. « Il faut s'attaquer aux vraies causes, définir l'urgence et travailler d'une manière structurelle, » a souligné Jean Mégret. Au vue de cette situation, une aide supplémentaire de 5 000 € a été octroyée pour l'achat de céréales, en plus de l'aide annuelle (1 € par habitant du territoire, soient 8 500 €). Elle sera présentée pour validation au prochain bureau communautaire.

    Dans leur majorité, les élus présents ont insisté sur le contrôle des subsides apporté. Outre cette main tendue pour palier à l'urgence, la construction de magasins pour entreposer des céréales et des aliments pour bétail, l'achat d'un nouveau camion, l'aménagement de la mairie, du mobilier pour les écoles ont été évoqués.

    Pragmatiques Michel Rochefort et Alain Briens ont soulevé les problèmes d'irrigation des cultures avec la remise en état des puits et des forages. Les Nigériens devront préparer des dossiers chiffrés qui seront étudiés par les élus.

    Dolo - mercredi 05 octobre 2011 - Ouest France